Le mois dernier, lorsque le président du Congrèsgénéral national libyen Mohamed Magarief a annoncél’attributionà la Tunisied’uneenveloppe de 200 millions de Dinars tunisiens pour couvrir le déficit, souscouvertd’aide au développement, je fus marqué par l’écart qui existaitentre les positions de mesdifférentsamislibyensàcesujet. Certains, considérantque la Libyeétaitredevableenvers la Tunisie pour son soutienà la révolution, étaitravis par cetteidée. D’autresestimaient, en revanche, quecette aide était avant tout unemanière de « dilapiderleursrichessesnationales ». D’unecertainemanière, les deux camps avaient raison.
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